Téléphone : 418 383-5397

Vivre à Sainte-Justine

Imaginez vivre dans une municipalité suffisamment grosse pour obtenir une foule de services et suffisamment petite pour connaitre son 10e voisin de droite. Imaginez habiter une municipalité où le paysage est visible à perte de vue et où la communauté tisse des liens étroits de solidarité et d’entraide. Sainte-Justine, c’est tout cela.

Les habitants de Sainte-Justine bénéficient de biens et de services comparables à ceux d’une municipalité d’envergure. Réseau scolaire complet de niveau primaire et secondaire, piscine et patinoire intérieures, auditorium, épicerie, quincaillerie, concessionnaire automobile, groupe de médecine familiale, dentiste, pharmacie, terrains de tennis, de soccer et de baseball, aires de jeux, cinéma, écoles de danse, Sainte-Justine est l’endroit rêvé pour vivre à la fois dans la quiétude et dans un environnement stimulant doté d’une offre de loisirs alléchante.

Véritable petit Costa-Rica en raison de la présence de travailleurs de Rotobec recrutés pour combler des besoins en main d’oeuvre, Sainte-Justine est fière de sa couleur unique.

Vous souhaitez vous joindre à notre grande famille ? Avec la participation de partenaires du milieu, notre municipalité offre un programme de revitalisation domiciliaire doté d’une aide financière pouvant atteindre 10 000 $ pour la construction d’une résidence, en plus du tirage de 2 000 $ chaque année parmi les nouveaux propriétaires. Et de nombreux emplois stimulants sont à combler.

Tentant, non ?

En attendant, laissez-nous vous présenter quelques personnes qui ont choisi de s’établir à Sainte-Justine ou qui y sont originaires. Comme quoi, il y a du bon monde ici!

Ils sont de Sainte-Justine

Laurier LacroixRoch CarrierAlex TanguayMichel MorinGatien LapointeJulie LabontéÉtienne LecoursGeorges-Octave LangloisJean-Yves LarochelleYann Farley

Professeur québécois et historien de l’art Laurier Lacroix est né le 9 mars 1947 à Sainte-Justine.
Baccalauréat en pédagogie (1967)
Baccalauréat de la Sir George Williams University (1971)
Maîtrise en Lettres et civilisation françaises de l’Université McGill(1972)
Maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Montréal (1973)
Diplôme de muséologie de l’École du Louvre (1974)
Doctorat en histoire de l’art de l’Université Laval (1998)
Professeur de l’histoire de l’art et de la muséologie à l’Université Concordia de 1976-1988 et Université Laval de 2007-2010. Il enseigne à l’UQAM depuis 1988. Source (Livre du 150e de Sainte-Justine)

Romancier, dramaturge et auteur de contes, est né le 13 mai 1937 à Sainte-Justine et il est détenteur d’un doctorat en littérature.
1957: Baccalauréat ès arts de l’Université Saint-Louis à Edmundston au Nouveau-Brunswick.
1964: Maîtrise de l’Université de Montréal.
1964-1970: Professeur de littérature au Collège militaire de St-Jean.
1970: Doctorat ès lettres de l’Université de Paris.
1970-1971: Professeur à l’Université de Montréal.
1973-1980: Collège militaire royal de Saint-Jean. Il est enseignant au département de français et coordonnateur du programme de premier cycle en études canadiennes.
1979-1981: Président du Conseil des arts du Canada.
1990: Directeur du Collège militaire royal de Saint-Jean.
1992: Prix Stephen Leacock pour l’humour dans « Prières d’un enfant très très sage ».
1994-1997: Directeur du Conseil des Arts du Canada.
1998-2004: Administrateur général de la Bibliothèque nationale du Canada.

Le chandail de hockey est l’un des plus célèbres contes de Roch Carrier et l’ONF en a fait un dessin animé. Un extrait de ce conte est imprimé au verso du billet de 5 $.

Son inspiration est souvent de source autobiographique. Il aime décrire la vie des gens d’ici et d’ailleurs. Ses écrits sont étudiés dans les écoles et les universités, partout dans le monde et ce, tant en français qu’en anglais. Certains de ses textes ont été traduits dans d’autres langues.

Roch Carrier fait partie des auteurs québécois les plus lus au Canada.


Alex Tanguay est né le 21 novembre 1979 à Sainte-Justine. Il est un joueur professionnel canadien de hockey sur glace. Il est le grand frère de Maxime Tanguay repêché par les Blackhawks de Chicago lors du repêchage de la LNH de 2007.

De 1996 à 1999, il fait partie de l’organisation des Mooseheads de Halifax dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ). Il est repêché par l’Avalanche du Colorado lors du repêchage d’entrée dans la LNH 1998, à la 12e position.

En 1999, il débute avec cette équipe dans la Ligue nationale de hockey (LNH). Il remporte la Coupe Stanley en 2001. Le 24 juin 2006, lors du repêchage de la LNH, il est échangé aux Flames de Calgary en retour du défenseur Jordan Leopold, ainsi que des choix aux repêchages de 2006 et de 2007 ou 2008. Au cours de cette saison, il atteint un sommet personnel de 81 points.

Le 20 juin 2008, le jour du repêchage de la LNH, il est échangé aux Canadiens de Montréal contre un choix de première ronde 2008 (25e) devenu Greg Nemisz et un de 2e ronde au repêchage 2009. Montréal obtient le choix de 5e ronde 2008 devenu Maxim Trunev. Il porte le numéro 13, après l’avoir désiré durant plusieurs années de désir, ne pouvant choisir ce numéro dans l’uniforme de l’Avalanche et des Flames.

Il signe un contrat en tant qu’agent libre avec le Lightning de Tampa Bay en septembre 2009 et passe une saison avec l’équipe floridienne avant de retourner avec les Flames le 1er juillet 2010. Le 27 juin 2013, il est échangé avec Cory Sarich à son ancienne équipe, l’Avalanche, en échange de David Jones et Shane O’Brien.

À la date limite des transactions en 2016, l’Avalanche l’échange avec les droits de négociations de Conner Bleackley et de Kyle Wood, aux Coyotes de l’Arizona en échange de Mikkel Boedker.

Statistiques


Michel Morin est né à Québec le 25 octobre 1946 et est le fils adoptif de Philodor Morin et Imelda Fortier de Sainte-Justine. Il a deux enfants, Joëlle et Félix-Antoine.
Michel Morin fut journaliste à la Société Radio-Canada pendant plus de 30 ans. Son dernier poste fut à titre de rédacteur en chef, nouvelles télévisées, à Radio-Canada et RDI de 2003 à 2004. À neuf ans, il complète son cours primaire en ville puis son secondaire à Lévis.  À la fin de son secondaire, il décide de prendre le chemin de l’Université d’Ottawa.  Il termine sa scolarité de Maîtrise en Sciences politique et obtient la médaille d’argent.

Après l’université, il débute à Radio-Canada comme recherchiste puis de fil en aiguille, il devient interviewer ainsi qu’animateur et ce travail l’amène à visiter le pays d’un océan à l’autre ainsi que le grand Nord canadien.

En 1974, il tire sa révérence à Radio-Canada et vient à Québec travailler pour le quotidien « Le Soleil ». En 1977, il revient à Radio-Canada mais cette fois aux nouvelles régionales et un an et demi plus tard, il est affecté à la couverture parlementaire. Il collabore à la revue Forces, aux journaux Le Soleil, Le Devoir et Les Affaires. En 1984, il devient responsable de l’information économique au Télé-journal de Radio-Canada.

Il a contribué au téléjournal quotidien, Le Point, à titre de journaliste et rédacteur en chef de 1996 à 2003. Il a aussi occupé différents postes dont : correspondant à l’étranger pour Radio-Canada à Paris; correspondant parlementaire à Québec; journaliste et présentateur pour la production régionale de radio, animateur et recherchiste pour l’émission  « Consommateurs avertis ».

M. Morin s’est vu décerner le Prix du président de la Télévision française de Radio-Canada pour un de ses reportages sur les enfants victimes de la guerre en Bosnie.
Il s’est fait connaître à Radio-Canada, jusqu’à sa retraite en 2005. Correspondant à Québec et à Paris, Michel Morin s’est démarqué par ses reportages à caractère économique, notamment par des enquêtes sur Hydro-Québec.

Au cours des dernières années, les téléspectateurs n’entendaient plus sa voix éteinte si caractéristique puisque le journaliste oeuvrait à la rédaction des nouvelles. Les deux dernières années, il a œuvré à son compte comme consultant.

L’ex journaliste Michel Morin mettra dorénavant son expérience au service du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) puisqu’il a été nommé conseiller le 6 août 2007 pour un mandat 5 ans.


Gatien Lapointe naît  le 18 décembre 1931. Il étudie au Petit séminaire de Québec. Il poursuit ses études à l’Université de Montréal où il obtient une licence en lettres en 1955. Il étudie aussi à l’école des arts graphiques de Montréal où il obtient une maîtrise en 1956. Il s’initie à l’édition. Dès 1953, il publie à compte d’auteur son premier recueil de poésie « Jour Malaisé ».

1956 est l’année de son départ pour la France. Titulaire d’une bourse de la Société royale du Canada, il entreprend des études à la Sorbonne et au Collège de France. Il visite  l’Italie et l’Espagne.

1962 marque son retour au Canada. Il est maintenant professeur au collège militaire de Saint-Jean. Il enseigne la littérature québécoise et française pendant 7 ans.
Il quitte cet emploi en  1969 pour se joindre en tant qu’animateur d’atelier de création littéraire à l’équipe de l’Université du Québec à Trois-Rivières, nouvellement fondée. Il est par la suite professeur de poésie et de création littéraire à cette université. Parmi ses étudiants figure le poète rock Lucien Francoeur, dont il dirige le mémoire de maîtrise.

Le 27 mars 1970, il participe à la mythique Nuit de la poésie, organisée par Gaston Miron à Montréal. Cette soirée réunit certains des plus grands poètes du Québec (Claude Gauvreau, Raoul Duguay, Raymond Lévesque) qui y déclament leurs œuvres.

Il est l’un des cofondateurs de la maison d’édition les Écrits des Forges qui publie depuis 1971 de la poésie.

Durant sa carrière, il a remporté de nombreux prix : Prix du club des Poètes pour « Le Temps premier » (1962), le Prix du gouverneur général, du Maurier et de la Province de Québec pour « Ode au Saint-Laurent » (1963), le  Prix de la province de Québec pour le « Premier mot » (1967) et le prix de littérature Gerald-Godin  à titre posthume (1984).
Parmi ses œuvres, on compte « Jour malaisé » (1953), « Otages de la joie » (1955), « Le temps premier » (1962), « Ode au Saint-Laurent » (1963), « Le premier mot » (1967), « Arbre-radar » (1980), « Corps et graphies »  (1981), « Barbare inouï » (1981), « Corps-transistor » (1981) et « Le premier paysage » (1983).
Il est décédé le 15 septembre 1983 à Sainte-Marthe-de-Champlain.

Le 4 octobre 1990 a eu lieu un colloque sur l’œuvre de Gatien Lapointe, événement qui a donné naissance au livre « Gatien, tout simplement » (Ecrits des Forges).
Bernard Pozier a publié en 1987 une biographie de Gatien Lapointe, intitulée « Gatien Lapointe, l’homme en marche ».
Le prix Gatien-Lapointe-Jaime-Sabines est remis à chaque année au  Festival international de la poésie de Trois-Rivières. Ce prix est remis en alternance à un poète québécois ou mexicain.

On a nommé une bibliothèque en son honneur à Trois-Rivières.

Dans le Vieux-Québec, à Place Royale, le nom de Gatien Lapointe est intégré à une fresque murale. Si vous regardez bien, vous verrez  que son nom est écrit sur un livre placé dans la vitrine de la librairie Octave Crémazie. Cette section de la murale rend hommage aux grandes œuvres  et aux auteurs marquants de la littérature québécoise. Le nom de Gatien y est inscrit en compagnie de Roger Lemelin, Émile Nelligan, Alice Parizeau et bien d’autres.


Septembre 2007: Bourse décernée par Hydro-Québec en collaboration avec la Fondation de l’athlète d’excellence du Québec.

Juillet 2008:
Championnat mondial du lancer du poids du junior d’athlétisme :
En ronde de qualification, la jeune athlète, en envoyant son poids à 14,96 mètres, a réalisé son deuxième meilleur lancer à vie au poids 4 kg, ce qui lui a valu la 7e position du Groupe B, à seulement huit secondes de la Chinoise Qiangian Meng et de la sixième et dernière place donnant accès à la finale Julie Labonté.

Octobre 2008: Médaille d’or aux Jeux de la Jeunesse du Commonwealth (En Inde)

Le 13 mars 2009:
Lors du National Scholarships indoor Championships à New-York, Julie a terminé en première position avec un lancer de 5.81 m, devançant la 2e position détenue par Vanessa Stewart de New-York par plus de 1.35 m.

Le 15 mars 2009:
Au National Scholastics Indoor Nikes de Boston, Julie a de nouveau terminé en première position avec un lancer de 5.79 m, devançant Ashley Adams de ennsylvanie par plus de 2.39 m.
Depuis son impressionnante victoire en Inde aux Jeux du Commonwealth, Julie a terminé première à chacune de ses compétitions, ce qui la classe aujourd’hui première en Amérique du Nord et du Sud et en 6e position au monde.

Juin 2009:
Championnats canadiens d’athlétisme disputés à Toronto.
Médaille d’or (14 m.96) premier titre senior canadien.

Juillet 2009:
Compétition Corsaire-Chaparal- (Complexe sportif Claude-Robillard-Montréal)
Lancer du poids à une distance de 16,21 mètres battant record canadien junior datant du 31 juillet 1964.

18 juillet 2009: 1ère position aux Championnats juniors canadiens à Charlottetown avec un lancer de 16m39.

19 juillet 2009: 2e position au lancer du disque(45m23)

juillet 2009: 1ère position aux championnats provinciaux:
lancer au poids (16m23) et au disque (45m52)
Championnat Pan Américan junior Port of Spain à Tobago: 16,29m (2e meilleur lancer à vie).

Août 2009: (Médaille d’or):

Jeux du Canada (23 ans et moins) à Charlotteown, Île du Prince-Édouard, avec un lancer de 16,23 m.

1er octobre 2009:(Médaille de bronze)
6e jeux de la Francophonie à Beyrouth (Liban) avec un lancer du poids (15.93 mètres) devancant ainsi Anca Heltne (Roumanie) et Jessica Cerival (Française)

7 novembre 2009: Titre de la meilleure athlète québécoise junior en athlétisme pour l’année 2009.

5 décembre 2009:
Record au lancer du poids lors d’une compétition disputée à l’Université McGill à Montréal.
Son jet de 16 mètres 22 lui a permis d’effacer le record détenu par Nancy McCready depuis 1964.
La jeune athlète détient maintenant les deux records canadiens soit celui à l’extérieur de 16 mètres 39 et celui à l’intérieur de 16 mètres 22.

Janvier 2010 et février 2010:
Avec l’équipe d’athlétisme des Wildcats de l’Université de Tucson en Arizona.
Lors de sa première compétition à Flagstaff, elle termine au 2e rang en vertu d’un lancer de 15,04 mètres.
Elle a poursuivi sur sa lancée lors des deux compétitions suivantes ayant une incidence au classement de la NCAA, en décrochant des première et deuxième places, grâce à des lancers de 15,39 mètres et 15,89 mètres.
Ces deux épreuves se sont tenues à la fin du mois de janvier à Albuquerque et ont été suivies de l’avant-dernière compétition qui s’est déroulée le 6 février dernier à Lincoln au Nebraska, et au cours de laquelle elle a réussi son meilleur lancer depuis son arrivée en sol américain, avec un jet de 15,89 mètres qui lui a procuré la troisième place.

Mars 2010: 12e place championnat intérieur universitaire d’athlétisme des États-Unis à Fayetteville en Arkansas avec un jet de 16,12 mètres.

19 mars 2010: Au Willy Williams en Tucson, Arizona,(saison extérieure) elle lance le poids à une distance de  16m50.  Avec 16m23, 16m17,16m16,15m79 et 15m88 lui a permis de se classer en 1ère position.

Avril 2010: Compétition d’athlétisme à Los Angeles: 3e victoire depuis le début de la saison extérieure  sur le circuit universitaire américain de la NCAA.
Lors du Jackee Joyneer Kersee Invitational, Julie a remporté cette compétition  avec un jet de 16 mètres 23 devant une coéquipière de l’Université d’Arizona.

24 avril 2010: À  Bekerley (Californie) 4e victoire lors du Brutus Hamilton  Invitation avec un lancer de 1 mètre 38.  Elle occupe actuellement le 3e rang de la division ouest et le 4e échelon du classement général du circuit universitaire américain d’athlétisme.

Mai 2010: 1-2-mai :
Compétition d’athlétisme des trois universités de l’Arizona à Tucson.
2e meilleur résultat à vie avec un jet de 16 mètres 77.
2e position au lancer du disque: 50 mètres 43 (Elle a battu sa meilleure marque personnelle de près de 5 mètres.) Elle se qualifie pour participer au championnat continental de la NACAC (réunissantt des athlètes de l’Amérique du Nord, de l’Amérique centrale et des Caraïbes) en juillet prochain en Floride.

27 mai: lors  du championnat de la division ouest du circuit universitaire disputé à Austin au Texas, elle réussi  un jet de 16 mètres 49 (3e position) s’assurant ainsi de participer à la finale de la NCAA qui se tiendra du 9 au 12 juin à Eugene en Orégon.

Juin 2010: Une première pour l’Université Arizona: recrue par excellence de la Pacific Conference de la National Collegiate Athletic Association  avec un lancer du poids intérieur (12ieme)et extérieur(4ième) au niveau national.

Juillet 2010: 9 juillet: 4e position à la compétition Nacac avec un lancer de 47.20 mètres et médaille de bronze au poids avec un lancer de 15.89 m.

À Toronto au Championnat canadien senior d’athlétisme, Julie remporte la première position au lancer du poids.  Son  meilleur lancer a dépassé plus de 1 mètre sa plus proche concurrente.
Au lancer du disque, elle termine en 2ième position suite à un lancer de 48,94 mètres.

Novembre 2010: Gagnante du trophée Espoir

Janvier 2011: Compétition en Arkansas :record canadien avec un jet de 17 mètres 9 pour et ce jet représente le 4e meilleur lancer sur le circuit universitaire américain.  Avec ce résultat, la porte-couleurs de l’Université de l’Arizona s’est qualifiée pour les Championnats d’athlétisme de la NCAA qui se tiendront en mars.

Février 2011: 5 février: Compétition de la NCAA tenue au Nouveau-Mexique. Un lancer sur une distance de 17 mètres 28 . Elle a ainsi battu son propre record de 20 centimètres. Avec ce triomphe, elle s’est hissé au 4e rang  du classement du circuit universitaire américain au lancer du poids féminin.

Le 12 février: Texas: Dans une compétition du circuit universitaire américain,  elle a réalisé un jet de 17 mètres 18 soit  10 centièmes de moins que  son record personnel pour devancer toutes ses rivales.

Les 25 et 26 février: Championnat  « Mountain Pacific Sports Fédération » à Seattle , un jet de  17 mètres 60 ; elle a devancé  sa plus proche adversaire de 94 centièmes.  Ce lancer représente le 3e meilleur résultat  cette saison sur le circuit  universitaire américain.
L’athlète a également battu  le record de l’université de l’Arizona, vieux de 28 ans,et qui était de 17 mètres 36.

Mars: Texas: Championnat national intérieur de la National Collegiate Atheletic Association , division 1, au College Station, avec des lancers de 16,89 m, 17,53 m, 17,13 m, 17,36 m, 17,13 m. elle devance Tia Brooks de l’Université Oklahoma en deuxième position par 13 centimètres.

18 mars: Nouveau record personnel et nouveau record québécois.
Université de l’Arizona (compétition Willie Williams) Mme Labonté a brisé sa marque personnelle et du même coup le record québécois vieux d’une trentaine d’années , au lancer du poids, avec un jet de 17 mètres 65.
Elle a également bien fait au lancer du disque avec 3 lancers de 50 mètres et plus dont un de 50 mètres 66, (record personnel) ce qui lui a valu la médaille de bronze.

Avril: Fin de semaine du 9 avril: au 84e Clyde Littlefield Texas Relays à Austin (Texas) avec un jet de 17 mètres 71 au lancer du poids, (seulement 12 centimètres du record canadien.  Devancée que par une membre de l’équipe olympique américaine (18 mètres 5) mais puisque que l’athlète de l’équipe olympique ne s’est pas classée sur le circult universitaire américain, Julie a été créditée de la première position.

23 avril: Triton Invitational à La Jolla en Californie , Julie termine en 3e position ceci derrière 2 athlètes professionnelles.   À son premier lancer, elle a égalisé le record canadien senior en envoyant son poids à 17m83.
Julie demeure en 1ère position dans la National Collegiate Athletic Association et s’est classée dans les 10 meilleures athlètes à l’international.

En résumé, Julie détient : le record canadien jeunesse
les recors canadiens junior intérieur et extérieur
le record canadien sénior intérieur ainsi qu’une égalité avec le record canadien senior extérieur.

Prochaine compétition le 30 avril à Phoenix en Arizona
14 mai 2011: ( 11e rang au monde entier:)

Championnat Pac-10, Julie a remporté pour une 2e année l’épreuve du lancer du disque (Tucson -Arizona) et établi une nouvelle marque canadienne avec son meilleur lancer à vie de 18,21 mètres.  Cette performance lui ouvrira plusieurs portes pour participer à des compétitions d’envergure telles que des championnats mondiaux ainsi que les Jeux panaméricains.
Prochaines compétions :Des Moines en Iowa (11 juin) 21 au 25 juin Calgary pour les championnats canadiens.
26 mai 2011:6Circuit universitaire américain d’athlétisme:  (Eugène en Oregon) championne de la division ouest avec un jet de 17 mètres 93 devancant une coéquipières de l’Université de l’Arizona de plus de 82 centimètres et ainsi signer son 12e triomphe cette saison.

11 juin 2011: À l’occasion  du Championnat d’athlétisme extérieur de la NCAA en Iowa, Julie réussi un jet de 18 mètres 31 à  l’épreuve du lancer du poids et ainsi fracasse  le record canadien qu’elle détenait.  Avec ce lancer, elle atteint le standard A pour les jeux olympiques et se classe 20e au monde.  Les 24 et 25 juin elle participera aux Championnats canadiens d’athlétisme au lancer du poids et au lancer du disque à Calgary .

24-25 juin 2011: Championnants canadiens seniors (Au Foothill Field (Calgary)
Le 24 juin: Médaille d’Or (Record personnel au disque) avec un lancer au disque de 53m31.
Le 25 juin: Lancer du poid de 18m12, ( médaille d’or).
Prochaines compétitions le 9 juillet (Corsaire Chaparal) du 15 au 17 juillet championnat provincial à Québec et les Championnats mondiaux de l’International Association of Athletics Federations à Daegu en Corée du Sud.

27 août 2011:
Daegu (Corée du Sud):  Lancer du poids des Championnats du monde d’athlétisme.
Julie a réussi un premier jet de 17,66 m et un second de 18,04 m. Pour passer en finale, elle devait faire mieux que la Chinoise Ling Li, dernière classée pour la ronde ultime avec un jet de 18,67 m.

Octobre 2011:
Julie s’est vue remettre le trophée de l’Arizona.  Ce trophée est remis à la meilleure université entre les Wildscats de l’Arozona (Tucson), Les Devils de Arizona State (Phoenix) et North West Arizona (Flagstaff).
Julie, qui représentait les 80 membres de l’athlétisme, s’est mérité le trophée du fait qu’elle a été celle qui a fait remporter le plus de points à son équipe (les Wildcats) au cours de l’année 2011.
Julie Labonté prépare actuellement sa saison hivernale, laquelle débute à la fin du mois de janvier. Son objectif : conserver son titre de meilleure lanceuse du poids de la NCAA (National Collegiate Athletic Association) division 1 et aussi d’améliorer son record canadien intérieur qui est de 17m60.)

Novembre 2011:
Honorée athlète par excellence dans la catégorie « Espoir » pour une 5e année au Gala Athlétas de la Fédération québécoise d’athlétisme.

Janvier 2012 :
Élue athlète de l’année pour une 3e fois au Gala du mérite sportif beauceron.
Également en lice pour remporter le trophée The Bowerman, remis à l’athlète par excellence en athlétisme sur le cirtuit de la NCAA.

30 janvier: 1ère position (18.01 m) compétition intérieure à Fayetteville en Arkansas ce qui lui a valu de battre les records canadien et québécois, qui étaient de 17,60 m. et le record de l’Université de l’Arizona qu’elle avait elle-même établi l’an dernier.  Avec cette performance, Julie se classe automatiquement pour la finale de la NCAA indor qui sera disputée à Boise, en Idaho en mars prochain.
Julie connait un excellent début de saison, elle vise atteindre le standard de 18,30 qui lui permettrait de participer aux Jeux olumpiques de 2012 à Londres.

Février 2012
Victoire (avec un lancé  du poids sur une distance de 18 mètres 87) aux championnats régionaux « Mountain Pacific » circuit universitaire américain d’athlétisme disputée à Seattle (Washington), établissant ainsi un record à cette compétition qui regroupait des athlètes de 12 universités de l’Ouest américain de la NCAA.

Juillet 2012:
Aux Championnats Canadiens senior à Calgary, elle a réalisé un lancer de 17m51 pour terminer première dans sa discipline.  Julie a également remporté l’or au lancer du disque avec une performance de 44m02.  Un record personnel pour elle.

Le 17 juillet:
6e au lancer du poids lors de la compétition d’athlétisme Spitzen Leichtathletik à Lucerne en Suisse avec un jet de 17,23 m.

6 août 2012: Jeux  olympiques de Londres:
1er lancer: 17.48 mètres, 2e tentative: 17.32.
Le standard pour passer à la finale était de 18.90 m. Julie n’a pu se qualifier pour la finale du lancer du poids. Cependant,cette performance lui permet de terminer 23e rang mondial.

Février 2013:
1ère pour une quatrième année consécutive et conserve son titre de « Championne au lancer du poids » de la Mountain Pacific Sport Fédération avec un lancer de 17m 49.  Elle prend du même coup la 3e position de la  NCAA au classement général.

Mars  2013:
Troisième lors de la finale au lancer du poids de la NCAA divison 1 qui a eu lieu à Fayetteville en Arkansas et ainsi réalise sa meilleure performance intérieur de l’année.

Avril 2013:
Lors de sa plus récente compétition (Jim Click Invitation) Julie a réalisé sa meilleure performance au lancer du disque avec un jet de 54 mètres 29 lui donnant ainsi la 2e place derrière Taylor Freeman.  Au lancer du poids, elle termine en 1ère position avec un lancer de 17 mètres 07.  Elle détient la 1er position de la division 1 de la NCAA avec 17 mètres 58.  Prochaine compétion, le Mount Sac.1

Au dernier weed-end d’avril:
C’est avec un jet de 54 mètres 42 qu’elle termine en deuxième positon (dépassant ainsi  son record personnel).
Prochaine compétion « Championnat Pac 12 et les nationaux de la NCAA, les Championnats canadiens à Moncton les 21 et 22 juin et enfin les compétitions internationales.

11-12 mai 2013:
À sa première compétition au lancer du poids, Julie termine en 1ère position avec un lacer de 17m38. Au lancer du disque, elle termine en 2e position avec un nouveau record personnel de 56m79.  Son précédent dernier record était de 54m42.w

Juin 2013:
C’est avec un jet de 17 mètres 63 (lancer du poids) meilleur lancer de l’année  qu’elle termine la compétion qui s’est tenue à Monction au Nouveau-Brunswick  et durant cette même fin de semaine au lancer du disque elle réussi un lancer de 52 mètres 89, terminant ainsi en première position.

Prochaines compétitions:  Moscou en Russie au mois de juillet et août.


Étienne évolue depuis bientôt 15 ans dans le monde des skieurs de bosses et il a remporté en 1999 l’épreuve des bosses des Jeux du Canada et skié jusqu’en 2003 au sein de l’équipe canadienne qu’il a dû se résoudre à quitter en raison d’une blessure au genou subie à l’entraînement.

Il s’est par la suite adonné à l’entraînement au club du Relais de Lac-Beauport puis collaboré à la création du programme de sport-études en ski à bosses à l’École secondaire Le Sommet avant de joindre les rangs de l’équipe du Québec où ses qualités d’entraîneurs lui ont permis d’être remarqué par la Comité olympique suisse qui lui a confié la direction de son équipe de ski à bosses(depuis juin 2010) jusqu’aux Jeux olympiques de Sotchi en Russie en 2014.

Étudie à l’école des religieuses de Notre-Dame du Perpétuel-Secours.

1939: Cours classique -Juniorat des Oblats de Marie-Immaculée à Chambly.

1945-1947: Séminaire de Saint-Jean-sur-Richelieu (Baccalauréat Es-Arts).

Septembre 1947: Début de son Droit à Laval.

1950: Licence « Cum Laude » suivie de son diplôme de la Chambre des notaires « Cum Laude » et c’est le 14 juillet de la même année qu’il signa son premier contrat.

Pendant 15 ans, il pratiquera avec son père à l’étude Langlois et Langlois.

Activités sur le plan paroissial:
-Maître chantre à l’église
-Animateur de la foule aux messes dominicales.
-Membre de l’Ordre des Chevaliers de Colomb du Conseil 3236.
-Secrétaire de la Chambre de Commerce de Sainte-Justine.
-Secrétaire de la Chambre de Commerce régionale Chaudière-Etchemin.
-Commissaire d’école
-Membre du Comité de Planification de la Commission scolaire régionale Chaudière.
-Président du Groupe Beauce-Appalaches (Sodeq)
-Président du grand regroupement des six Sodeq.

Depuis 1954: Président du Conseil d’administration à la Caisse populaire Desjardins .

Depuis 1960: Vice-président de la Fédération des Caisses populaires de Québec.

En 1967: Fédération du Québec des Caisses populaires Desjardins.

1972: Conseil d’administration de la Confération des Caisses populaires et d’Économie Desjardins du Québec.  De plus président de la Commission de la Régie de l’Inspection de la Confédération et président de la Corporation des Fonds de Sécurité Desjardins.

1973-1986:Membre du Conseil d’administration à la Fiducie du Québec et devient premier vice-président en 1978 et en 1986, il accède à la présidence du Conseil d’administration.

Source:Livre des fêtes du 125e de Sainte-Justine

Soulignons que le  docteur Jean-Yves Larochelle est né à Saint-Prosper, comté de Beauce-Sud, le docteur Larochelle y fait ses études primaires suivies d’un cours classique à Saint-Georges et du cours de médecine à Laval. Au cours de ses études, il devient officier au Régiment de la Chaudière. Après son cours de médecine, il épouse Monique Lemieux, infirmière, qui, en plus de donner naissance à quatre enfants, devient vite une assistante irremplaçable dans sa pratique générale dans le sud du comté de Bellechasse d’alors.

Le jeune médecin, comme le voulait la coutume, est disponible tant au bureau qu’à domicile, 7 jours sur 7, et ce, 24 heures sur 24. Les premières années, il pratique de nombreux accouchements tant à domicile qu’à l’hôpital. Après douze années de travail seul, il construit une clinique et un second médecin se joint à lui.Plus tard s’ajoutent deux autres médecins.

Le docteur Larochelle a toujours cru que chacun devait mettre ses diverses capacités au service de ses proches. Particulièrement après l’arrivée d’un associé, il s’implique dans les domaines scolaire et municipal. Il est élu maire de Sainte-Justine et préfet de MRC. Il joint la chambre de commerce tout en donnant du temps au Corps des cadets notamment. Pour fournir sur place un emploi à beaucoup de ses patients qui devaient s’éloigner pour gagner leur vie, il participe avec des associés à la mise sur pied de deux usines de transformation du bois. Au terme de 20 années de pratique et ayant assuré son remplacement, il déménage à Québec et devient Juge administratif au Tribunal du Québec, poste qu’il occupe jusqu’à sa retraite.

À son retour à Québec, il s’enrôle à nouveau dans le corps médical avec le grade de capitaine. Attaché au Régiment de la Chaudière, son travail consiste à administrer l’examen médical aux candidats réservistes, à donner des cours aux miliciens et à participer aux exercices tant du Régiment que de la compagnie médicale.

Son séjour au Régiment révélera en lui un fervent admirateur des vétérans de ce Régiment dont plusieurs deviendront ses amis. Il est élu à deux reprises président de l’Amicale; son but était de raviver cette association ce qu’il a réussi avec beaucoup de brio. Le président n’a de cesse de rendre hommage à ces anciens, partis dans la vingtaine participer à la guerre qui enflammait l’Europe. Il leur rappelle à chaque occasion qu’ils doivent être fiers de leur passé et qu’ils sont tous des héros qui, par des milliers de gestes souvent banaux, mais toujours au risque d’être blessés ou tués, ont contribué à une victoire salutaire pour l’humanité.

Pour le rôle qu’il a joué tant da la vie civile que militaire, nous recommandons que le capitaine docteur Jean-Yves Larochelle reçoive la Médaille de l’Assemblée nationale.

Source Édition Beauce 11 septembre 2009


Artiste multidisciplinaire et ingénieur des arts, Yann Farley propose des sculptures monumentales et murales, en plus d’oeuvres alliant sons, mouvements et interactions. Ses matières premières: le bois, la fibre de verre, l’acier, le plastique et une foule d’objets récupérés.

Depuis plus de quinze ans, Yann Farley fait sa marque dans le domaine des arts visuels au Québec. Il a accumulé une trentaine d’expositions solo et collectives, et réalisé plusieurs oeuvres publiques dont certaines dans le cadre du Programme d’intégration des arts à l’architecture.

Son travail récent se distingue par sa dimension interactive où il utilise les nouvelles technologies pour établir de nouveaux dialogues entre l’oeuvre et le public. Il dessine et conçoit ses propres circuits imprimés, les considérant comme faisant partie de l’oeuvre d’art. Pour voir son travail et pour le joindre, visitez www.yannfarley.com

EnregistrerEnregistrer

Aucun commentaire